"La Tendresse" , la Symphonie Confinée
Valentin Vander a réuni 45 musiciens/musiciennes et chanteurs/chanteuses de toute la France, pour interpréter une version symphonique de la chanson écrite par Noël Roux, composée par Hubert Giraud et immortalisée par Bourvil en 1963.
La Tendresse parle de choses essentielles et communes à tous les hommes: On peut vivre sans richesse, on peut vivre sans la gloire... Mais vivre sans tendresse, il n´en est pas question...
LA TENDRESSE
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la
jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la
tendresse
L´amour ne serait
rien
Non, non, non, non
L´amour ne serait
rien
Quand la vie
impitoyable
Vous tombe dessus
On n´est plus qu´un
pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la
tendresse
D´un cœur qui nous
soutient
Non, non, non, non,
On n´irait pas plus
loin
Un enfant vous
embrasse
Parce qu´on le rend
heureux
Tous nos chagrins
s´effacent
On a les larmes aux
yeux
Mon Dieu, mon Dieu,
mon Dieu…
Dans votre immense
sagesse
Immense ferveur
Faites donc
pleuvoir sans cesse
Pour que règne
l´amour
Règne l´amour
Jusqu´à la fin des
jours.